Troisième étape : des plats et des bosses
Relativement plat ce matin, le parcours est devenu très pentu cet après-midi. Dur, dur sous un soleil de plomb.
Dans l’Aisne et la Somme, les kilomètres ont défilé dans la matinée. Mais, ensuite, les routes sont devenues plus rudes. Ajoutez à cela la fatigue accumulée des jours précédents et certains organismes étaient marqués à l’arrivée à Gisors. Le collectif a fait son oeuvre pour apaiser les maux : « L’entraide et les encouragements sont devenus les moteurs du groupe qui s’est véritablement soudé aujourd »hui » raconte Thierry Collen.
La nuit passée dans les yourtes de Sérifontaire, équipées de chauffage intégré (si, si…) va permettre au groupe de récupérer avant de prendre la direction de la Normandie.